Publié dans Sport

Judo Grand Slam de Paris - Janeiro forfait et Christiane éliminée

Publié le vendredi, 02 février 2024

 Le tirage au sort pour ce Grand Chelem de Paris est désormais officiel pour un événement qui comptera finalement 621 combattants issus de 107 pays. Que retenir alors de ce qui attend les trois judokas malagasy en lice, Chan Ling Janeiro engagé chez les moins de 66 kg hommes et deux judokates à l’instar de Laura Rasoanaivo (moins de 70kg) et Vital Christiane engagée chez les moins de 52kg dames. A noter que 38 combattantes se sont engagées dans la catégorie féminine. 

Evoluant dans la poule C, sans adversaire au premier tour, la jeune malagasy de 23 ans, Christiane Vital (111e) mondial de sa catégorie, s’est qualifiée au deuxième tour de sa poule avant d’être sortie par la Japonaise de 22 ans, Shiraishi Hibiki (115e mondial). Mais cette dernière a été éliminée en finale de sa poule par l’Espagnole Toro Soler Ariane.

Dans la catégorie des moins de 70kg dans laquelle Laura Rasoanaivo est engagée, 39 combattantes  disputent le titre. La Malagasy se trouve dans la poule D. Le combat s’est déroulé hier, tard dans la soirée, contre la française Soula Florine, au premier tour.

Chez les hommes, le Malagasy de 37 ans, classé 458eme mondial de sa catégorie, Janeiro, n’a pas participé à la compétition. Il devait affronter le Péruvien, Juan Postigos (50e) lors du premier tour. Ce dernier a été éliminé à son tour en demi-finale de la poule B par l’Ukrainien Iadov B. de sa catégorie.

 

Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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